Enfin presque

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lundi 14 juin 2010

Dernière cigarette

 

Higelin...

 

La nostalgie peut être douce. Doux souvenirs d'une autre époque, d'une époque où il m'aimait, où je l'aimais.

La nostalgie éclipse ma colère, ma tristesse, l'amertume en arrière goût. Pour ce soir, du moins.

La nostalgie ne me fera pas regretter.
 


Apaisée.

samedi 8 mai 2010

En pâtir

 

Envie d'airs tristes. Pour accompagner l’humeur morose. (pas seulement la mienne).
Et oui, je laisse aller. Ne t’en déplaise. La mélancolie fait partie de moi, et ce n’est pas parce que tu la railles qu’elle n'existe pas. Ce n’est pas parce qu’on ne veut pas que l’autre ressente ça qu'en niant ça disparaîtra.

Je ne voulais pas croire qu’il était toujours amoureux d’elle ; je ne voulais pas croire qu’elle n’allait pas bien, etc. Parce que je ne le voulais pas. Alors on minimise, on rassure -toi tu te moques. Mille manières de nier, en définitive. Mille façons de se protéger, de ne pas souffrir de la peine de l’autre.

Parce que si je ne parle pas, si je ne trouve pas le recul, je ne fais qu’écouter (ne rien dire, parfois) et j’empathe.

Mais parfois un câlin -je comprends, je suis là- suffit.

 

(Toujours affirmé qu’il n’y avait pas d’échelle de la douleur. Peu importe la cause, il faut entendre le ressenti.)
(Parce que nier ce que l’autre ressent, c’est le renier aussi)

Solo piano : Gonzales - Overnight

mardi 4 mai 2010

Pourquoi faire compliqué

- J'ai 23 ans, des yeux noirs, la forme du visage ovale. Je ne suis plus vierge mais mon casier judiciaire l'est encore. Tu sauras le début en regardant mon passeport et le reste en me prenant dans tes bras. C'est tout simple.

(Nadja Tiller à Jean Gabin, dans Le Désordre et la nuit. Dialogues d'Audiard)

(et puis après c'est rigolo parce qu'elle le pousse à la frapper et il lui dit "Tout simple..." avec une ironie jolie.)

vendredi 23 avril 2010

C'est une question de timing


[chanson] du soir...

J’veux pas qu’on soit tristes comme la chanson
J’veux pas qu’on se résume à des mots
(aussi doux soient-ils)
J’veux ta bouche, j’veux ta peau

Vis ta passion
Et fais-la moi transpirer
Maintenant que tu me laisses respirer
Serre-moi à m’en étouffer
Profitons du peu de temps qu’il nous reste

Fais-moi coulis
Fais-moi mousse
Fais-moi dorer
Fais-moi flamber
Sois mon suprême

De toi je suis riche
[chanson] d’amour et d’eau fraiche

jeudi 1 avril 2010

Me découvrir d'un fil

 

Je crois qu’il faut que j’en parle. Que j’en parle sans force, qu’il n’y a plus besoin de forcer pour que ça sorte.

Je voudrais raconter et me laisser aller aux pleurs, comme en hypnose, peut-être.

Je ne sais juste pas comment faire. Tant de barrières, mes protections, projections.

Arrêter d’en parler avec du recul, le dire sans humour,

Tout ça, le dire vraiment.

 

Cette maladie est un fléau mortel. Une vraie plaie qui en moi ne s’est jamais vraiment refermée.

 

Une chanson... qu'il me chantait (attention, elle est gaie)

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